Par Claudie Bérard – 09 août 2016 ….. Une « Ambivalence »… et tu m’invites donc à mieux « entrer » dans l’image pour la percevoir, c’est une guidance beaucoup plus subtile, et profonde en même temps. Lumière/obscurité, l’ambivalence? Statique/dynamique? Je suppose qu’en y restant encore je trouverai d’autres pistes… Pour moi qui « bloquais » sur tes propositions trop concrètes, et...

… cette étendue bleue, sans doute une nuit avec ses éclats, secrets, et autres instants mystérieux… J’aime plus encore cette lueur d’espoir, riche par sa force et énergie. Elle est là, en chacun de nous, partout autour, plus forte pour que chante l’humanité… Texte : Anna Grazi – 02 août 2016 ——— illustration mutagraphie Rached MILADI

Poème de Cheima Fazzani…. ——————————– Après certaine existence Le départ s’annonce Le voyage prend naissance Après décès et malheur intense Paradis ou enfer le destin prononce… Cheima FAZZANI – 01- août 2016 -illustration poétique de la mutagraphie de Rached Miladi

« Ondes d’amour confiant et curieux, lancées, par-delà le vide interstellaire et la peur de nos différences » Claudie Bérard – 31 juillet 2016

Dans tes ciels* imaginaires,  noyés de poésie, savamment interprétés, toujours renouvelés, je m’évade et je retrouve « La gamme chromatique radieuse de mon ciel d’enfance, souverain, changeant, tour à tour cendré, opalescent, rosé, outremer, cobalt, indigo, purpurin dans lequel, sans le savoir, ma mémoire, petit à petit, insidieusement, s’est imprégnée, s’est nourrie, s’est fortifiée de ces...

Mes pupilles aux aguets Encore de noir grimées Se dilatent Et se rétractent En cherchant à apercevoir Ce que je ne peux concevoir Telle une sœur Anne Dipsomane Guettant Mais ne discernant Dans le tourbillon fou de feuilles En deuil Qui divaguent En zigzag Au vent Violent Rien qu’une poussière funeste Comme un zeste De...

Une pluie apocalyptique née des entrailles de l’enfer inonde la ville assoupie. Alors les agapes démoniaques peuvent commencer.  

J’ai vu le silence des larges océans J’ai entendu la luxure du vent J’ai vécu dans la tristesse des grèves Je me suis caché dans des tombes profondes Je me suis noyé dans des songes d’ambre. Puis Le Dieu-Poète est venu, Dans son sillage, Le sable s’est fait eau La terre s’est faite route Le...

Je pense, insomniaque, à cette pleine lune Qui, bientôt accouchera, fantasque D’un croissant argenté

Etrange mirage D’un voyage lointain imparfait Que je refais, souvent en secret Dans le présent délesté.